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Parlons de la crise migratoire en France

L’immigration est l’un des sujets les plus importants d’une nation, car ouvrir les portes de sa nation, c’est ouvrir les portes de sa propre maison. En France, une personne sur dix est issue de l’immigration, dont 48% d’entre elles issues de l’Afrique et 32% d’autres pays européens. Pour donner une idée plus précise, 12,5% des immigrés sont d’origine algérienne, 11,9% marocaine et 4,7% tunisienne, signifiant qu’un immigré sur trois est d’origine maghrébine (3 pays privilégiés sur les 197 pays reconnus par l’ONU, générant une forte instabilité sur la diversité).

Aujourd’hui, la France fait face à une crise migratoire alarmante :

  • Les frontières ne sont plus respectées, voire inexistantes à l’intérieur de l’espace européen, augmentant le nombre de clandestins et potentielles menaces terroristes. 
  • Les règles migratoires s’assouplissent sous l’influence socialiste, facilitant l’accès à l’espace français d’individus peu ou très peu qualifiés.
  • Les sanctions quant au non-respect du bien-être de la société et de la culture ne sont plus appliquées, offrant la possibilité aux délinquants de s’exprimer librement. 

Au cours de ces années, la situation ne fait malheureusement que de s’empirer et le plus terrifiant, selon moi, est de voir qu’un citoyen français ne puisse plus s’exprimer librement sur le sujet. Toute opinion critique ou contradictoire sera désapprouvée, dévalorisée et sanctionnée par des menaces et insultes, mettant à risque sa réputation, voire sa propre vie. Comment expliquer, dans un environnement démocratique, qu’un citoyen ne puisse pas s’exprimer librement sur le bon maintien de sa société sous peine de représailles ? Cela est inadmissible.

A travers mes voyages, je me suis rendu compte que l’Ouest possède une politique très laxiste et désorganisée. Nous avons vu que des réfugiés pouvaient s’installer en France en toute simplicité, accédant à des privilèges que même les citoyens français n’avaient pas accès tel que le transport ferroviaire en illimité offert par l’Etat pour les réfugiés ukrainiens. Dans cette logique, pourquoi ne pas agir ainsi pour tout immigré qualifié qui souhaite participer à la croissance de la nation ? Malheureusement, nous investissons dans notre propre misère.

L’immigration doit être intelligente avec des principes basés sur la discipline et l’hospitalité. Limitons le nombre d’entrées avec des critères de sélection strictes et offrons un climat propice au développement aux plus méritants. Avoir une politique conservatrice est loin d’être péjorative, c’est au contraire se concentrer sur le bien-être de nos propres citoyens. N’oublions pas que les plus grandes puissances (comme Singapour) possèdent cette attitude et c’est une raison de leur succès. 

Nous avons tendance à être tolérant avec les intolérants alors que nous devons nous affirmer sur la scène internationale et montrer que la France est un pays d’exigence et d’excellence. Un immigré n’est pas un citoyen. Il doit intégrer et respecter la culture française. Il est aussi invité à partager sa propre culture, mais strictement interdit de l’imposer. Cela prend en compte tant les opinions politiques que religieuses. Quel que soit son statut, il doit mériter son entrée dans la nation par le biais de son travail et sa motivation, et lorsqu’il y est, il doit garder à l’esprit que rien n’est acquis jusqu’à l’obtention de sa nationalité.

Les réfugiés, quant à eux, font face à un important problème d’intégration. Les programmes mis en place sont inefficaces et manquent de contrôle. Rare sont ces réfugiés qui parlent le français, exercent une activité professionnelle en France et bénéficient d’un futur prodigieux. Ils sont malheureusement délaissés au bien vouloir de leur instinct de survie, générant colère et violence. Il est crucial de les intégrer au mieux afin qu’ils se sentent chez eux.

Enfin, il est accablant de constater que le nombre d’immigrés clandestins en France est estimé entre 600 000 et 700 000. Pour visualiser ce chiffre aberrant, le pays compte 34 955 communes, ce qui signifie que chaque commune possède environ 20 immigrés clandestins. Afin de garantir la souveraineté de la nation, tout immigré clandestin devrait être expulsé ou enfermé, en aucun cas, libre de circuler librement dans nos rues. Les lois doivent s’appliquer à tous, sans exception.

Ces mots peuvent créer inconfort ou colère. Toutefois, ce sont des politiques qui existent bel et bien en dehors de l’Europe. Même si le passeport français se place en deuxième position dans la liste des passeports les plus puissants du monde de 2023, immigrer dans des pays non européens est loin d’être facile. Nullement besoin de prendre l’exemple des États-Unis, du Japon, de Singapour ou d’autres pays développés. Immigrer dans des pays en voie de développement tels que le Vietnam nécessite aussi un fort investissement personnel. Bien que nous possédions un passeport de grande puissance et bénéficions d’une excellente réputation internationale, nous devons démontrer à ces nations que nous apportons une réelle valeur ajoutée. Si tel n’est pas le cas, les frontières resteront fermées. Pourquoi ne pas en faire de même en France ?

Malheureusement, ce sont des sujets de conversation qui restent tabous et c’est la raison pour laquelle nous vivons en pleine crise migratoire. Ouvrir le dialogue représente une belle opportunité pour explorer des solutions novatrices, bénéfiques tant pour nos citoyens et que nos nouveaux arrivants. Adopter une position conservatrice ne devrait pas être assimilé à la discrimination ou à l’inhumanité. Au contraire, la diversité des opinions enrichit le débat. Face à la crise migratoire qui touche la France, il est essentiel d’explorer divers horizons et de travailler ensemble à la création de nouvelles opportunités. C’est une responsabilité qui nous concerne tous.

Florian Groussin

– “Après avoir quitté le monde des grandes entreprises pour me lancer dans l’entrepreneuriat, je suis aujourd’hui un freelance spécialisé dans le développement commercial, travaillant en étroite collaboration avec des clients internationaux. Au cours des trois dernières années, j’ai exploré une vingtaine de pays, enrichissant ainsi non seulement mon bagage professionnel mais aussi mon parcours personnel.”

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