Science et diplomatie sur les nouvelles frontières tracées par le développement technologique

La géopolitique de la connaissance, c’est ce paradigme que propose le sommet Geneva Science and Diplomacy Anticipator (GESDA) qui réunit un millier de chercheurs, diplomates, ministres, représentants du secteur privé et philanthropes pour discuter des défis liés aux nouvelles technologies et de leur impact.

A travers le thème : « L’ère des possibilités : science, souveraineté et avenirs partagés », ce sommet explore cette année comment l’humanité peut relever les défis et saisir les opportunités offertes par la technologie quantique, la neurotechnologie, l’intelligence artificielle, la biologie synthétique et l’ingénierie climatique.

Dans un contexte mondial polarisé, marqué par des conflits et une profonde méfiance, il est plus que jamais nécessaire de trouver les moyens d’élaborer des règles communes pour la gestion des nouvelles technologies. La Suisse entend jeter des ponts entre des positions divergentes en s’appuyant sur la valeur de la science et en anticipant l’impact du développement technologique sur les sociétés. Le sommet GESDA, où des scientifiques, des diplomates et des représentants du secteur privé travaillent ensemble, est son principal partenaire dans cette tâche.

Dans ce nouveau paradigme de Géopolitique de la connaissance, le développement technologique, toujours plus rapide, influence les équilibres de pouvoir.

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